Erin n’est pas un super canon époustouflant. Elle ne se préoccupait pas vraiment de son apparence, bien qu’elle ne soit pas négligée non plus. Elle se contentait d’être banale et de se fondre dans la masse, bien qu’un peu garçon manquée. D’une taille moyenne pour une fille, c’est du haut de son mètre soixante-neuf qu’elle regardait le monde et ses habitants changer peu à peu. Elle n’est pas ce type de fille qui font super attention à leurs lignes, elle n’est pas super chétive, dirons-nous, svelte, elle mange à sa faim, ne se refuse rien, mais fait un peu de sport pour tout de même garder la forme. Pour le reste, c’est l’archétype d’une asiatique. Les cheveux noirs et très lisses, elle préférait les laissait assez court, forgeant un peu plus son image de garçon manqué. Pourtant, ses traits de visages étaient très fins, et ressortait encore plus avec cette coiffure. Les yeux bridés, couleurs cacao, un nez fin et une petite bouche rosacé avec laquelle elle ne manquait pas de faire mille & une grimace pour s’exprimer. De plus, sa peau n’est pas pâle, mais pas archi-bronzé non plus. De toute façon, elle n’avait pas l’occasion d’aller souvent à la plage. La seule chose qu’elle aime bien chez elle, se sont ses mains. Allez savoir pourquoi. Son style vestimentaire n’était pas très recherché non plus, de toute façon, à l’époque il y avait l’uniforme, donc pas besoin de se casser la tête.

On peut dire que maintenant, elle est devenue un peu plus féminine. S’étant laissé pousser les cheveux, un peu plus long que le niveau des épaules, elle a aussi prit l’habitude se maquiller…juste un peu hein. Pourtant, juste avec ses deux petits changements, on dirait une tout autre personne. Pour tout vous dire, elle a même prit la bonne habitude de se coiffer, faisans un peu plus attention à elle et son apparence, sans pour autant en faire sa principale préoccupation. Maintenant qu’elle avait quitté le lycée pour l’Université, elle ne pouvait plus se cacher derrière son uniforme, et c’est peu à peu, qu’elle à commencé à élaborer ses tenues. Erin n’a pas vraiment les bonnes formes là où il faut, mais le fait est qu’avec le temps, elle s’est développée petit à petit, et qu’elle a su trouvé ses petits charmes.

Le trait principal de son caractère est sa joie de vivre. C’est une personne rarement de mauvaise humeur, un peu entouré d’une aura positive dirons-nous. Débordant d’optimiste, la jeune fille veut tout faire pour faire partager son bonheur aux autres. Toujours le sourire aux lèvres, elle ne manquait pas une occasion pour sortir une blague foireuse & bien drôle à laquelle ses amis riaient. Amis sans « e «. » en effet, car la jeune femme préférait de loin trainer avec des garçons, non pas qu’elle était une de ses potiches superficielles, aux contraires, elle affichait plutôt un look garçonnet, ce qui faisait qu’elle se fondait bien dans la masse. Mais ça ne l’empêchait pas pour autant d’être apprécié des filles, en fait, elle était amie avec tout le beau monde. Néanmoins, elle savait rester calme quand il le fallait, et sérieuse aussi… Comme on dit, on peut rire de tout, mais pas avec tout le monde. En plus d’avoir le sens de l’humour, c’était une vraie pipelette. Les deux vont de paires. Elle avait toujours quelques choses à dire, intéressant ou non, souvent des choses dont tout le monde s’en contrefichait, mais tant pis, il fallait absolument que ça sorte. Mais rassurez-vous, vous pourrez toujours lui confier un secret, elle n’est pas du genre Gossip, après-tout, c’est sa propre vie qu’elle étale. Ce qui nous amène à une autre de ses principales qualités : sa confiance. On peut la lui accorder facilement, Erin n’a jamais et ne dévoilera jamais un secret ça c’est sur, par contre, dans l’autre sens, c’est plus difficile. Erin se confie difficilement, et près tout garder pour elle. En fait, elle est assez sensible, mais ne le montre pas. Si on lui fait une remarque, elle l’interprète de façon peu avantageuse, elle se vexe, mais ne s’énerve pas. Elle boude, mais ne dit rien, de toute façon, ça ne dur pas bien longtemps, elle redevient rapidement, cette espèce de pile électrique.

La demoiselle, peut aussi se montrer rêveuse. Ayant toujours vécu au Japon, elle aurait aimé voyagé dans le monde entier ! Mais ses parents n’étant pas super aisée, ayant une situation normal, elle devait se contenter, comme tous les enfants de son rang social à faire avec, mais elle ne s’en plaignait pas. Il ne faut pas oublier que la jeune fille a aussi d’autres défauts, sinon, ce ne serait pas amusant. Pour faire simple, elle est aussi très bornée, tête en l’air, trop émotive, farceuse, franche, mais surtout trop naïve. Combien de fois n’a-t-elle pas prêtée d’argent à plusieurs personnes, plus d’une fois, sans qu’on ne lui rende ? Combien de fois a-t-elle avalé mille et un mensonges sans rien dire en retour ? Erin est trop naïve, et elle le sait, mais c’est plus fort qu’elle, elle ne peut pas dire non, ou penser qu’une personne ment, quand le mensonge n’est pas évident.

Les seules choses qui ont un peu changé avec le temps, c’est qu’elle est devenu un peu, mais juste un peu plus calme et moins accessible. Quand on grandit, on se méfie plus des gens et avec l’expérience on en apprend…des choses.

La jeune fille vécue une enfance, plus ou moins banale. Né un 1 décembre 1988 à Iwakuni, une ville du Japon, la jeune fille était issue d’une famille étant classé comme ayant un niveau sociale moyen. Ayant été éduqué par un foyer aimant, lui ayant inculqué le respect des valeurs et de la personne, la petite Erin ne manquait de rien. Elle avait pour ainé, deux frères assez lourdaux, dont un qui était déjà séjourné en prison, pour vol à l’étalage, mais rien de plus. Ce ne fut qu’une légère mauvaise passe dans la famille Uehara, mais rien de grave. Elle est beaucoup plus proche de son second frère, avec qui elle passait le plus de temps. Mais n’ayant que pour seul modèle féminin sa mère, la jeune fille prit plus ses marques dans le monde « masculin », restant plus avec son frère, dès la primaire, avait les cheveux courts, et des activités dignes d’un garçon. Entre autre, elle adorait la construction de maquette, à l’aide de son aîné. Et déjà, dès le début, elle commençait à trainer avec les garçons, voulant plus s’échapper des discussions mielleuses ses filles et de leurs poupées. Elle avait ce côté un peu sauvageon, qui faisait qu’elle adorait se battre et faire des jeux dangereux, une vrai cascadeuse, mais heureusement, elle s’assagit avec le temps. En parlant de bande, presque tous les garçons de sa classe était plus ou moins regroupée dans la même, mais il y en avait toujours un, avec qui elle n’avait jamais parlé. Il s’appelait Keisuke Kazama, une vraie tête ! Qu’est-ce qu’elle rêvait avoir la même intelligence que lui. A part se battre, et assembler des pièces, elle ne savait pas faire grand choses, et encore moins étudier, non pas que c’était un cancre, mais elle s’en sortait in extrémiste. Elle voulait mieux travailler pour faire plaisir à ses parents, mais ne pouvait pas faire plus, c’était plus fort qu’elle. Une fois, au collège, elle fut même prise dans une espèce de bagarre ! C’était à cause d’une petite pimbèche, pas plus riche qu’elle, mais qui se croyait vraiment supérieur, qui l’avait énervé, et c’était partie tellement vite… Rien que d’y penser, elle a encore honte, mais la fille a gardé des séquelles pendant longtemps ! Enfin, bref, tout ça pour dire, qu’Erin, était une fille au fort caractère, qui ne se laissait pas faire, et c’était peut être sa plus grande qualité.

Peu importe. Lors de sa dernière année au collège, elle apprit que son père fut muté à Shimonoseki. Elle n’allait pas se plaindre. Certes, elle allait se séparer de ses amis, mais son père gagnerait un peu plus d’argent, ce qui permettrait de faire mieux faire vivre la petite famille. Elle allait donc commencer sa première année de lycée, là-bas. Elle n’avait eu aucune appréhension, et avait eu totalement raison. Même si elle avait perdu ce côte « brute » son aspect garçon manqué était toujours le même, et c’est d’ailleurs celui-là, qui l’a aidé à avoir les connaissances qu’elle a eu, mais pas dès la première approches. En fait, au début, elle s’était un peut faite remarquée à sa manière. Uniforme jamais aux normes, arrangées à sa manière, retards in excusés, la jeune fille pour un début n’accumulait rien de bon. Pourtant, elle avait toujours les mêmes résultats qu’aux collèges, c’est à dire tout à fait moyens, pas assez haut pour avoir une mention, mais pas assez bas pour se faire réprimander par ses professeurs. Mais depuis quelques temps, elle avait remarquée ce garçon dans sa classe, très populaire, qui lui faisait penser à quelqu’un. Non pas qu’elle voulait absolument le côtoyer, mais juste s’assurer qu’il n’était pas la personne qu’elle croyait. C’était donc à l’heure de l’interclasse qu’elle décida de l’interpeller.

Erin – « Keisuke-Kun ? »

Elle s’était permis d’être un peu familière. D’ailleurs, toutes les personnes avec qui ils restaient, le regardait bizarrement. Tant pis, lui ne semblait pas là connaître. Ca ne lui fit ni chaud ni froid, mais plus elle le regardait, plus elle devenait sure de l’avoir déjà vu. Bref, elle s’expliqua.

Erin –« J’étais dans ta classe au primaire et au collège ! »

Elle lui aurait bien dit pour lui rafraichir la mémoire, qu’elle était cette fille agitée qui trainait avec les garçons, mais elle allait s’arrêter là. Puis il lui fit comprendre, qu’il ne s’intéressait pas trop aux gens avant. Mais ce n’était pas grave, elle lui raconta un peu sa vie, lui dit qu’elle avait déménagé, et finit par ce présenter en bonne et du forme, puis promit, qu’elle ne dirait rien sur son changement…époustouflant ! Puis le temps passait, et Erin, finit par rester avec lui et ses autres amis, le contact avait était facile avec eux aussi. Elle s’y plaisait bien, l’ambiance était bonne et elle se sentit rapidement à l’aise. Enfin, presque, car il y avait des rumeurs à son sujet. Comme quoi elle sortait avec Keisuke, et qu’elle lui faisait du chantage, pretextant de dévoiler son passé s’il décidait de rompre. C’était totalement… Stupide ? Enfin, les gens qui racontaient ça, ne vinrent pas s’en prendre à elle, ils devaient savoir qu’Erin, n’était pas une nunuche, et savait se défendre, puis les garçons ne s’attaqueraient pas à elle, se serait déloyale, n’est-ce pas ? Et puis, en fin d’année, il sortait déjà avec une de ses nunuches, qui se disait populaire, et tout et tout, du charabia à ses oreilles. Elle ne s’en préoccupait que peu d’ailleurs, elle continuait son bout de chemin, en essayant toujours tant bien que mal de faire attention à ses notes, et à s’amuser le plus possible avec la bande garçons.

Puis la deuxième année fut totalement différente. Petit à petit, le quotidien, fit que ses sentiments envers Keisuke évoluèrent. Pour quoi lui et pas les autres garçons ? Bah, il était intelligent, puis mignon, et puis il avait une super personnalité, enfin, vous savez, tous ses trucs qui font qu’une fille craque sur un gars, qui plus est, si elle reste beaucoup avec lui. Mais de toute façon, elle ne voulait pas gâcher leur amitié, et Erin n’était pas du tout comme toutes les autres filles avec qui Keisuke étaient sortis. Elle n’en parla à personne, même si son attitude en disait déjà assez. Puis, il y a eu ce jour là, où il l’invita à Gokon. Ce n’était pas trop son truc, et puis les rendez-vous et tout ça, non merci, mais bon, elle accepta quand même, car c’était lui qui lui avait demandé. A vrai dire, c’était vraiment nul ! Les garçons étaient vraiment stupides, et les filles de la 3B, des vraies potiches n’en parlons pas. Elles étaient comme des mouches au tour de Keisuke, brr ! Elle se contentait de lancer deux ou trois vannes, par ci par là, comme elle en avait l’habitude. En fin de soirée, par malheur elle se retrouva avec Keisuke, puis ils discutèrent, avant d’arriver au sujet, où elle ne voulait pas arriver. La discussion prit une autre tournure, qui fit qu’en quelques sortes, elle était un peu blessée. Toute la nuit, elle n’avait pas arrêté de pleurer. Le silence est parfois pire qu’un simple refus. Elle se disait qu’elle n’aurait dut rien dire, rien sous-entendre, et juste nier gentiment, ça aurait été mieux, mais non, il avait fallut que son « cœur » parle à sa place. Elle ne dormit pas de la nuit, et pourtant le lendemain, même si elle n’avait pas oublié toute cette histoire, elle décida de ne pas faire subir ses humeurs aux autres, mais évitait Keisuke. La situation de la veille l’avait mise trop mal à l’aise. Et ça ne continua pas une simple journée, mais une semaine entière. Erin s’écarta même un peu de groupe, pour éviter de le croiser trop souvent.

Mais finalement, il décida de lui parler. Elle n’allait pas refuser, de toute manière, ça ne pouvait pas continuer comme ça, c’était absurde. Il l’emmena sur le toit, endroit où ils ne seraient pas dérangés, puisque personne n’avait le droit d’y aller. Même pas eux, mais c’était une longue histoire, il ne fallait pas s’attarder sur les détails. Elle ne voulait pas se retrouver devant lui, le voir tourner autour du pot, ne disant rien de concret, la gênait. C’était comme-ci il essayait de lui expliquer qu’il ne pouvait pas, sans trouver les mots. Enfin, elle avait complètement tord, ça ne se finit pas comme elle l’aurait pensé. Après des explications plutôt creuses, il l’avait enfin embrassé, ce qui était plutôt inattendu, de sa part ! Elle était comme sur un petit nuage, et c’était à partir de ce moment qu’ils ont commencés à sortir ensemble. C’était cool, et apparemment, ça n’étonnait presque personne. Erin ne s’était jamais sentie assez bien.
La troisième année de lycée, fut surement l’année de tous les changements. Ca rimait avec examens et Erin détestait bien els examens. Ce n’était plus de la rigolade, si elle voulait être accepté dans une bonne Université, il fallait qu’elle bosse et dur ! Heureusement que Keisuke était là pour l’aider un peu, il l’avait l’art de tout réussir, c’était assez frustrant mais bon. Il l’aidait à étudier, mais elle aussi voulait l’aider, elle voulait qu’il retrouve ses parents biologiques, ce n’était pas choses facile, mais il fallait qu’il essaie.
Maintenant, le temps passait encore et encore plus rapidement, et Erin avait de mauvais présentimants à propos de l’examen. Elle avait bossé, mais surement pas assez, et elle ne deviendrait jamais ce qu’elle n’est pas. Puis finalement, les résultats arrivèrent. Sans surprise, elle sût qu’elle n’était pas prise à Todai, mais Keisuke si. Elle était si contente pour lui, qu’elle s’empressa de le féliciter, même si ça signifiait être séparé de lui, puisqu’elle n’avait pas été prise dans les autres Universités de Tokyo. Même si ça signifiait qu’ils devaient être séparés, elle restait très contente pour lui. Malheureusement, son bonheur fut de courte durée. Quelques jours après tout cela, Keisuke prétendit vouloir lui parler, elle ne se doutait pas vraiment de ce qu’il allait dire.

Keisuke - « Ecoute, je pense qu’on devrait se séparer. Tu comprends moi à Tokyo, toi ici, ça serait pas facile, invivable même. C’est mieux ainsi, comme ça on pourra faire de nouvelle rencontre, de nouvelle expérience. Une relation longue distance ça ferait que nous empoisonner. Tu comprends ? »

Elle était complètement déboussolé, elle ne savait pas quoi dire, c’était inattendu ? D’un point de vue il n’avait pas tord, mais ils auraient pu surmonter tout cela… Et puis, ses propos étaient tellement…secs ? Son ton aussi d’ailleurs, c’était comme si leur rupture n’était qu’une formalité. Elle n’avait eût le temps de rien dire, il partit… Son regard était vide. Erin ne s’en remit pas. Les premiers jours étaient difficiles, elle s’était isolée complètement. Pendant tout ce temps, elle ne parlait à personne, ne sortait plus, bref, ce n’était plus la même. Rien que le fait de retourner aux endroits où ils avaient l’habitude d’aller, la faisait penser à lui, et de nouveau sombrer dans le chagrin. De plus, comme ils avaient complètement coupé les ponts, elle ne pouvait s’empêcher de se poser des questions du genre « Qu’est-il devenu maintenant » et autres choses du genre. Enfin, à quoi bon être la seule à souffrir ? Il devait l’avoir oublié depuis le temps, c’était ça le pire.

Erin finit par entrer à l’université. Elle avait retrouvé quelques uns de ses amis de lycée, et en ajoutait d’autres à sa liste désormais. Elle se remettait lentement, mais surement. Elle retrouvait peu à peu sa joie de vivre. Etonnemment, elle décidait de se prendre un peu plus en main. Elle allait laisser ses cheveux pousser, et essayait d’être un peu plus féminine, sur les conseils de ses amis. Elle voulait abandonner l’ancienne Erin, pour une foi pour toute, oublier Keisuke.

Trois années passèrent finalement. L’Université c’était pas mal, surtout le département où se trouvait la jeune fille. Elle s’était refaite complètement. Finalement, elle était devenue, une vraie « fille », méconnaissable. On lui avait même fait quelques avances, qu’elle avait refusées poliment, malgré ce qu’elle voulait faire croire, elle ne l’avait pas complètement oublié. Mais le quotidien et la routine, l’a peiné de plus en plus depuis quelques temps. Pendant toutes ses années, elle avait réussi à l’oublier partiellement, et là, c’était comme-ci ça revenait de plus en plus. Depuis certains moments, il hantait de plus en plus ses pensées… Innatendu. Elle décida de tout arrêter. L’Université et puis Shimonoseki… sa vie n’était pas là ! Elle devait partir à Tokyo, elle devait lui revoir, lui montrer ses changements… Elle était décidée. De plus, son frère lui aussi était à Tokyo, donc, elle vivrait avec lui, et la suite, elle aviserait. Un vrai coup de tête, certes. Elle prévint ses parents, qui ne s’opposèrent pas à sa décision, ainsi que ses amis, qui au contraire l’encouragèrent. Destination : T o k y o.

La vie à Tokyo, n’était pas facile. A vrai dire, ils avaient une tout autre mentalité, puis il y a avait trop d’agitation. Elle avait fait les démarches administratives pour être accepté dans une école de Cinéma & d’audiovisuel, avec succès. Pour aider son frère et arrondir les fins de moi, elle travaillait en temps que serveuse, dans un des restaurants de la capitale. Un boulot vraiment détestable, mais elle n’avait pas le choix. Néanmoins, elle n’avait pas oublié son objectif, et faisait quelques recherches, elle s’était même renseignée à Todai, et un peu partout à Tokyo, puis, au finale, elle apprit que Keisuke était un host dans un club au nom de Shin’Ya. Ca l’étonnait vraiment qu’il soit là-bas, et elle hésita même à y aller. Mais finalement, elle allait devenir cliente, car elle n’avait pas fait tout ça pour rien.